samedi 22 janvier 2011

Comment devenir animateur télé!

A l’ère des télés-réalités, plusieurs se demandent comment faire carrière en télévision.

Il n’est pas nécessaire, loin de là, de participer à une émission de télé réalité. On peut d’ailleurs se questionner sur l’importance de ces émissions et sur le message qui est parfois retenu par les gens qui veulent faire carrière en télé et qui pensent que, par l’entremise de la télé-réalité, on peut se faire connaître et éventuellement être embauché comme animateur.

Oui, cela peut arriver mais, comme un athlète, on ne devient pas animateur télé du jour au lendemain. Il y a un processus, il y a un entraînement. Ça demande une discipline, une rigueur, de bonnes connaissances générales, un bon vocabulaire, une bonne diction, une bonne élocution et surtout une aisance.

Comment être à l’aise devant une caméra ? Essayez de parler à votre miroir à la maison par exemple et vous allez constater que ce n’est pas évident ne serait-ce que de garder les yeux sur le miroir. Alors imaginez deux ou trois caméras sur un plateau de télé. La gestion de la communication sur un plateau de télé est assez particulière et ça demande un entraînement.

Comment préparer une chronique de 4 minutes ou de 6 minutes ? Comment préparer une chronique en co-animation ou une chronique livrée seul(e) ? Voilà ce que vous apprenez dans un cours d’animation télé.

Je suggère souvent aux gens de commencer par l’animation radio, ce qui est une belle porte d’entrée. La radio permet de prendre une expérience, d’établir une certaine crédibilité et par la suite on peut faire la transition de la radio à la télévision.

Peu importe le choix de carrière que vous allez faire, n’oubliez jamais qu’il ne faut pas tomber dans la facilité. Ceux qui réussissent sont ceux qui travaillent fort et qui sont passionnés.

Votre coach,

Stéphan Roy
www.ecolestephanroy.com
514 947-3475

dimanche 16 janvier 2011

Les automomatismes de la communication!

Avez-vous remarqué à quel point nous utilisons souvent, par automatisme, les mêmes expressions pour entrer en contact avec l’autre, avec l’interlocuteur ? Les sujets qui reviennent assez régulièrement au Québec sont le sport, la météo et la sempiternelle question « comment ça va ? ».



Prenez conscience, lorsque vous entrez en contact avec quelqu’un, de la façon dont vous pouvez entrer en contact avec cette personne. Faites l’effort de vous laisser inspirer par l’individu, au lieu d’utiliser des phrases ou des questions de façon automatique.



Quand vous posez la question « comment ça va ? », êtes-vous vraiment intéressés à recevoir la réponse ? Et quelle sera votre réaction si jamais la réponse est négative et que la personne vous raconte ses problèmes en long et en large alors que vous n’avez que très peu de temps à lui accorder ?



En communication, il faut absolument éviter d’utiliser les automatismes, d’utiliser des habitudes qui viennent se glisser régulièrement dans nos communications. Faire l’effort de se renouveler, de se laisser inspirer par l’autre et surtout d’être original. Et, de cette façon, vous constaterez que les gens se sentirons beaucoup mieux et peut-être aussi beaucoup plus écoutés de votre part.


Votre spécialiste en communication,


Stéphan Roy

www.cfcq.ca

www.ecolestephanroy.com

samedi 1 janvier 2011

Vaincre la peur de faire une présentation!

Il est surprenant de constater à quel point plusieurs individus ont de la difficulté à affronter un petit groupe ou un grand groupe de personnes. La question que je pose dès le départ lorsque j’entends coaching en communication est la suivante : si vous avez le choix, est-ce que vous préférez faire une présentation devant 4 personnes ou devant 500 personnes ?

La plupart du temps, les gens vont répondre qu’ils auraient de la difficulté à affronter un groupe de 500 personnes. Et pourtant, plus il y a de participants, plus il est facile d’avoir un « contrôle » ou, du moins, d’amener les gens dans l’écoute et le respect. Dans une foule, peu de gens vont oser lever la main et poser une question. Peu de gens vont oser distraire ; ou ils vont le faire en essayant de passer inaperçus (dans la mesure du possible). De plus, il est difficile de voir la réaction des gens.

Ce qui intimide, c’est lorsqu’on est assis ou debout devant un petit groupe de 4 personnes et que les gens, à tout moment, peuvent intervenir, poser une question, nous envoyer un regard qui nous permette de comprendre qu’ils ne sont pas d’accord. C’est beaucoup plus intimidant et on risque de perdre beaucoup plus facilement le contrôle sur notre communication.

A partir de maintenant, essayez d’accepter l’idée qu’il est plus facile de faire une présentation devant un grand groupe que devant un petit groupe. Mais dans l’un ou l’autre des cas, qu’il y ait une personne devant vous ou qu’il y en ait 2000, il est toujours important d’être bien préparé, de connaître l’objectif de notre message, de savoir qu’est-ce qu’on veut que les gens retiennent une fois que la présentation sera terminée.

Aussi, acceptez l’idée que tous et toutes peuvent y arriver en y mettant les efforts nécessaires. Par « efforts », nous entendons avoir une bonne préparation et se donner la chance de répéter son message à plusieurs occasions pour s’approprier l’information. Et, une fois rendu au jour J, prendre plaisir à communiquer le message.

Votre spécialiste en communication,

Stéphan Roy
www.cfcq.ca
www.ecolestephanroy.com
514 947-3475